La route est courte (p.13) (Partoche) REFRAIN: La route est courte,
ce serait dommage
De se croiser sans s’regarder.
La route est courte,
ce serait dommage
De se croiser sans s’rencontrer.
1. J’ai longtemps marché
avec le nez sur mes souliers.
J’étais un étranger
quand tu m'as dérangé.
2. Toi, je te connais !
Dis-moi où s’est-on rencontrés ?
Au bord de quel chemin ?
Au fond de quel jardin ?
3. Je t’ai reconnu
après un long temps de chemin
Au geste de tes mains
quand tu as pris le pain.